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    Si par malheur vous entendez le chant de ce cow-boy, vous risquez d’être atteinte comme mon amie la cow-girl de cette maladie dont on ne veut pas guérir…

    J’avoue que je prendrais bien ce grand oiseau blanc pour rejoindre les plaines du far-west et y retrouver ce bel aventurier. Il est bien connu que j’ai un faible pour les hommes à chapeaux.
    Faire une chevauchée en sa compagnie ne doit pas être désagréable.
    Et avec ce lasso que pourrait-on faire ?

    Il devenait urgent de trouver un remède pour que nos esprits soient purifié de cette dépendance.

    Pour cela il faut :

    Une arène, quelques vaches et toros,

    Un pantalon de coton blanc, une chemise blanche,

    Une ceinture et une cravate rouges ou vertes

    Un habit de lumière.

    En vêtir un beau jeune homme brun et lui demander de faire des sauts au milieu de l’arène au-dessus des animaux.


    Le risque est d’être atteinte de la même maladie pour ce beau sauteur…

     

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    Il était un livreur qui n’avait plus qu’une livraison à faire et sa journée était terminée.

    Mais voilà il venait de dire à la petite fille de son avant-dernière cliente qu’il ne croyait pas aux fées.

    Celles-ci fort mécontentes envoyèrent leurs amis les Korrigans de s’occuper de cet idiot.

    Discrètement ces petites créatures firent un tout petit trou dans le tuyau de ce dernier, et petit à petit tout son contenu s’échappa…

    Il est arrivé tout heureux à son dernier rendez-vous. Il sortit son long tuyau et l’enfila dans l’orifice prévu à cet effet. Un grand pschitt se fit entendre et plus rien ne coula. Voilà le livreur bien embêté, il ne pouvait partir sans avoir finit d’avoir versé la quantité désirée !!!

    « Pensez-vous qu’avec du scotch, je pourrai boucher le trou ? »  Demanda-t-il à la jeune femme en rouge et noire qui se trouvait devant lui.

    - « Vous pouvez toujours essayer, mais j’en doute »   lui répondit-elle.

    Effectivement le scotch ne fonctionna pas, il fallait un tuyau de rechange. Ce genre d’ustensile ne se trouvait pas partout… Une longue attente allait commencer.

    La jeune femme lui proposa d’attendre dans son repère, mais le livreur refusa voyant les ombres de ses amies les fées qui dansaient aux flammes des bougies. Qui sait ce que celles-ci pourraient lui faire d’autre…

    Quelques heures plus tard, les secours arrivèrent et remplacèrent le tuyau défectueux. Soulagé le livreur a pu terminer son travail le cœur léger et rentrer chez lui en un seul morceau.


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    Par  cet  après-midi du 14 février, j’ai pris le chemin des bords de Seine.  Il y avait de la brume, mais au loin, je vis une corde à l’anneau du trois mats de mon pirate… Était-ce le brouillard qui me faisais des farces ou bien ce voyageur des mers aurait-il pensé à me faire une surprise pour cette fête des amoureux…

    Je pris donc la direction de ce côté des bords de Seine.

    Il y avait bien un navire amarré , mais je ne ressentais pas la présence de ce majestueux  trois mats, c’est comme s’il avait rétrécis au lavage.  Je me suis engagée sur le ponton, bien décidé à dire à cet intrus  que cet anneau était réservé.

    Voyant la ravissante péniche Hollandaise bleue et rouge, je me suis dit que notre « BELEM » serait ravi d’être en si charmante compagnie, d’autant plus qu’elle avait un ravissant nom : Fée Verte ».
    Aurais-je à faire à un spécialiste de cette boisson dont le loup ne m’a dit que du bien, celle que l’on déguste après un certain rituel… Voilà que mon agacement commençait à s’envoler. !!!

    A cet instant un homme de belle allure sortit  de la cabine et me voyant, me regarda d’un air surpris et me demanda : Qu’est-ce que vous faites là ?
    C’est la meilleure, il squatte, et n’a même pas l’idée de dire bonjour, il va pas être déçu celui-là…
    D’un ton peu aimable,  je lui répondis : Bonjour, c’est à moi de vous posez cette question, que faites-vous là, car vous êtes chez moi.
    Son visage s’illumina d’un ravissant sourire et s’excusa, et m’annonça qu’il avait des problèmes de moteur et avec ce brouillard, il avait préféré attendre que ce dernier ce soit le vé pour reprendre la route. Et il m’invita à monter à bord.

    Sur une table basse, un verre sur lequel était posé une cuillère percée avec un sucre à l’intérieur…
    Mon hôte me demanda si j’en voulais un verre. Depuis le temps que je voulais y goûter que ce soit en plus sur l’eau, je ne pouvais qu’accepter.

    Est-ce que c’était l’effet de l’Absinthe,  mais petit à petit je me rapprochai de cet inconnu, ce qui n’avait pas l’air de lui déplaire. Il faisait de plus en plus chaud,  mon batelier me prit la main, et me guida vers l’arrière où il faisait plus frais.  Pour le remercier de cette attention, je lui déposa un doux baiser dans le cou.  Je lui jetai mon regard vampirique et il accepta cette invitation au jeu…

    Absorbé par notre découverte l’un de l’autre, nous n’avions pas vu ni entendu l’abordage qui avait lieu. Mais nous avons bien senti la péniche tremblée sous les pas de….mon pirate !!!
    Et voilà qu’il se retrouva nu comme un ver avant que nous ayons eu le temps de faire quoi que ce soit.
    Ca tombait bien, à cause des histoires d’un certain Jack, j’avais une envie terrible de faire les poussières …  ;-) J’accueilli mon homme comme il se devait,  pendant que notre invité continuait à découvrir ce qu’il ne connaissait pas encore.  Quel délice de sentir leurs caresses et baisers si différents,  de pouvoir les inviter  à surfer sur les vagues du plaisir…



    La rosée du matin

      

      


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    Ce week-end , mon pirate a fait escale dans la Capitale. Depuis notre dernière rencontre il a pris du galon et il possède dorénavant son propre navire. Il en est d’ailleurs très fier, er c’est à bord ce dernier que nous avons remonté la Seine. Je n’aurais jamais imaginé qu’un jour, il serait là à déguster du rhum arrangé dans mon salon. Il me narrait les aventures qu’il avait vécu durant ces longs mois de navigation. Il semblait aussi à l’aise que dans une cabine de voilier. Cependant quelque chose avait changé, c’est qu’il n’était pas le maître des lieux et ne savais comment me demander, où se trouvait le lieu de mes rendez-vous avec Morphée. Je lui ai pris la main et l’ai guidé…

    Au petit jour à mon réveil, grande fût ma surprise de voir qu’il était là tout prêt de moi. Cette nuit là, je n’avais pas rêvé, nous nous sommes aimés et pour la première fois depuis de nombreux mois, je n’ai pas eu peur de me sentir femme.

    Puis il a fallu qu’il regagne les mers, je n’ai su que lui dire merci. Arriverai-je un jour à trouver les mots pour lui dire comme ses baisers, ses caresses, sont arrivées à me délivrer de mes chaînes, à me sentir apaisée et vraiment très heureuse.

    Comme j’aimerais être dans ses pensées, savoir s’il attend l’arrivée d’un messager qui lui dirait que sa belle m’attend et qu’elle espère qu’il pourra virer de cap et venir accoster dans ce petit havre de paix, ne serais-ce que pour quelques heures. N’ayant pas cette faculté, les pigeons sont restés dans la volière.

    Et rien n’est plus agréable que de recevoir la visite d’une belle chouette blanche qui en frappant à ma fenêtre me donnerait le lieu d’un prochain rendez-vous…

    La rosée du matin

     


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  • AccueilC’est compliqué

     

    Sur facebook, un ami s’interrogeait sur : en couple mais c’est compliqué…

     

    Ils savent presque tout l’un de l’autre, ils sont amis, ils se sont rapprochés, ils auraient pas dû, mais parfois la vie est étrange.

    Puis, il suffit d’un regard, d’un sourire, d’un café, d’un échange de téléphone pour que ça devienne compliquer.

    Pourtant elle n’est pas en couple, et cet « apprenti pirate » est tout comme elle, libre comme l’air.

    Alors où est le problème ?

    Ce n’est encore qu’un inconnu, mais ses messages qui commencent par :

    Coucou mon amour, mon ange, c’est bête mais ils la font fondre de bonheur. Et si par malheur, elle n’y répond étant déjà dans les bras de Morphée, ceux qui suivent sont encore plus touchants.

    Les paniqués : « Tu boudes ? » , « Tu fais la tête » ; les déçus : « Tu dors déjà ma puce » ; « Tu me manques »…

    Ce ne sont que de simples mots, mais qui sont prêts à la faire craquer.

    Elle sait que son ami, ne veut que son bonheur, et qu’il serait heureux qu’elle trouve un homme bien pour être auprès d’elle, mais elle sait aussi qu’il en souffrira, même s’il lui a dit :

    « Vas y fonce, profites de la vie, je ne suis pas celui qui te faut mais je serais là si… »

    L’amour, l’amitié c’est compliquer.

     


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